Drôle de monde ce matin,
hé oui, les plus fragiles en payent pas d'impôts,
les managers de grands groupes renoncent à leur primes faramineuses,
les salariés de BASF dans le Loiret retiennent leur directeur de groupe et négocient avec la Préfecture, La cheftaine du MEDEF fait semblant de faire des gros yeux pour éviter que le Crédit Agricole ne s'arrache les ChevReux.
Pendant ce temps l'économie solidaire essaye de faire autre chose, autrement.
Il y a 8 mois de celà, nous passions pour des fous avec notre histoire de salaires plafonnés, crise aidant c'est vu comme une idée de bon sens.
La rémunération du capital est fortement encadrée, qu'importent les bénéfices, le surplus est réinjecté dans l'entreprise.
La spéculation est impossible, l'entreprise est valorisée à sa valeur comptable...
Bienheureux les fous :)