bien, vos liens sur grapho !!
penser avec sa main...
et l'analyse de Boris Cyrulnik
Cette fichu peur de on se sait pas quoi, qui est angoisse
si on avait quelque chose de concret à craindre...
là, c'est vague, peur de tout et de rien, on s'accroche à des cordons métalliques.
Le travail devient un monde imaginaire, on se projette dans l'inconnu, le travail fait rêver mais de quel genre ?
dans la liste des mots, au début de l'entretien de la page un, je rajouterais: épanouissement.
maintenant c'est ça que l'on cherche. Maintenant que la survie est "garantie" par les institutions. "Garantie" pour une institution en qui on peut avoir confiance, et elle sont rare comme les personnes de confiance.
Mais a-t-on le choix ?
on doit bien s'y fier, s'en débarrasser n'est même pas envisageable. Est ce une raison pour ne pas l'attaquer ? De quel forme d'attaque je parle ?
La critiquer de façon constructive, où la détériorer ?
Estimant combien de personnes en vivent, la détérioré est criminel.
Je pense que les institutions sont frappées par la crise et que ce sont elles qui doivent la gérer et qu'à l'heure actuelle, elle n'est pas à la hauteur mais que l'on a les moyens de faire bien mieux, c'est pourquoi, il faudra la réformer, voir carrément remplacer certains de ses morceaux.