Je me suis dit, c'est comme les mauvais esprits, si j'en parle, ça va les faire venir.
Et puis dans mes multiplies déplacement qui n'avaient rien à voir, j'avais établi un camp retranché sur une montagne blanche en plein Paris.
"ça sent pas bon" me disait une chèvre en croquant des saladiers pleins de persil.
Ce n'était pas le persil qui "sentait pas bon", c'étaient les nouvelles.
Et puis, je me suis dit, que cette fois si, j'ouvrirai une chronique pour rien, juste parce que je me suis trompée...
alors, outre le persil, je cultive l'espoir de me tromper...
Chers Européens,
Nous sommes désolés pour ce nuage de cendres au-dessus de vos têtes et du fait que vous ne puissiez voyager nulle part.
Nous ressentons exactement la même chose.
Sincèrement,
Gaza