Révolution d'octobre

Ek-rit,et j'en fais le pa-ri,
En manusc-rit ou en sansc-rit,
Qu'importe l'oeil de la perd-rix,
Je brave les intempé-ris,
La langue et la mossad-rie,
A la sainte tricaude-rie,
Je préfère la ri-bau-de-rie.

On dit LE mossad ! pffff
:*691:

Et il rit pas !

Hé oui, après "pluies d'été" on a maintenant "vent d'automne", je ne sais pas si c'est pour faire rire, mais, sur ce coup-là, je n'ai pas de barbe et je ne rigole pas du tout.
Sur les côtes bretonnes, quand il pleut et qu'il y a du vent, on appelle ça un "grain".
J'avoue redouter la survenue d'un grain de folie d'hiver qui ne me ferait même pas sourire.

Pour parler d'une chose plus souriante, tout de même...L'air interloqué de la postière. "ça sent drôle, mais ça sent bon", a-t-elle dit à Guirlande en lui tendant un paquet.
...Merci pour les graines
:*cedre:

Ce canard ne rit plus
mais il est déchainé.

Ou alors de barba rie.

Le canard déchaîné,
Le nouvel Inquisiteur,
La réduction,
Annemarie,
La virgule,
Le lambin,
Le no man's land,
Le Crépuscule,
Vous les avez reconnu ?
C'était une vieille rubrique d'"anti presse" que je tenais en d'autre temps

(Le canard enchaîné,
Le NOuvel Observateur,
L'Expansion,
Marianne,
Le Point,
L'Express,
Le Monde,
L'Aurore,
décodage pour les... )

Je ne connais pas moi

j'en reconnais à peine 2 :o

Bon, j'ai mis une version décodée...elle est sur la page précédente.
:queen: :queen: :queen: :queen: :queen:

ha la je les connais tous sauf l'aurore

Tu ne connais pas l'Aurore bab ???
ha... je vais t'accuser !!

euh ben non je connais pas
accusé d'ignorance? plaide coupable mais avec circonstance atténuante

Bonjour le souk,
Pas grave mon petit babloumz, on va t'instuire,
mdrrrrrrrrrr
non, non, ne me faite pas dire ce que je n'ai pas dit, je n'ai jamais dit qu'on allait lui donner la connaissance.
Donc, toutes les républiques ont eu leur affaire Clearstream, leur sombre cuisine de frégates de Taïwan, et de libidineux tyrans en proie au commerce coupable avec de distinguées maitresses. Le seul truc qui a disparu depuis un moment, à mon grand regret, ce sont les journalistes de talents. Je ne parle pas des sérieux sortis le plus souvent de science po, et qui sous couvert de sérieux se font terriblement ennuyeux. Je parle d'une race disparue, celle des journalistes à tripes, ceux des mots qui percutent, des idées qui frappent, à la réthorique qui éclate comme des bulles de champagne.
Ha, ma bonne dame, les jeunes de maintenant ne sont plus que des pisse-vinaigre. Et puis, le cinéma et la télé ont fait beaucoup de mal à la réthorique...
Donc Zola, sa plume affutée, son brillant collègue Georges Clémenceau, rédacteur au quotidien "L'Aurore"
http://perso.magic.fr/tremong/pascal/lois/jaccuse.html

Quant au Président Félix Faure, plus célèbre par sa mort que par sa vie...La rumeur publique raconte que l'Archevêque de Paris se présentant à son chevet, au palais de l'Elysée aurait dit : "Monsieur le Président à-t-il toujours sa connaissance ?" Ce à quoi, l'huissier de service aurait répondu : "Non, elle est sortie par la porte de derrière". Hé oui, les enfants, le président avait une maitresse, et était en train d'expirer dans ses bras. Cette dame n'était autre que Margueritte Steinhel, épouse du peintre et marchande de tableaux. Quel était le métier de Christine Deviers-Joncourt ?, hum ?
Ha, l'histoire a de ces facécies que j'adore !