mardi 24 juin 2008

Vagabonde a écrit:

La fonction ne fait pas le larron ...lol!
Tu peux être agrégé et avoir des dessous inconscients pas très clairs ...lol!
...

Tout de même... J'aurais jamais pensé... Mais des dessous de qui parle-t-elle ?

C'est la compagne d'André Markowicz. Elle a écrit aussi sur les contes et légendes : Vie et mœurs des lutins - Vie des fées des eaux - et je ne sais plus quoi avec des mille-pattes.….

Robin .... j' ai toujours été attirée par les dessous en dessous des dessous ...mdrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr

J' aime les trognons , là où sont les pépins , promesse d' une nouvelle naissance .... lol!

bisous à tous !

En étudiant les contes des régions de france et donc aussi l' histoire de leurs blasons et drapeaux , c' était ce que dit Wiki...sans trop d' interprétation possible avec le nazisme ...
Merci , valy et gus pour votre documentation ... je vais les revoir à tête reposée...

Je l’ai connu pour son travail sur Armand Robin. Elle a publié l’édition complète de son œuvre, enfin ce qui n’a pas été détruit.

Mais de qui il parle Gus ? Qui est la compagne de qui ? Que font-ils avec leurs dessous. Et de quel trognon à pépin Vagabonde s'entiche-t-elle ? De celui d'une pomme à cidre ?

Françoise Morvan est la campagne d’André Markowicz, le dernier traducteur d’Anton Tchekhov

Gus parle de mon homonyme Robin qui a écrit ça... Pas très optimiste lui !

Sur le chaume, des croix !
Au cimetière, des croix !
Sur l'épaule, sur notre cœur, des croix !
Loin sur les plaines, des croix !
Et seul le maître de la Croix n'est nulle part !

Sur la terre entière des croix !
Sur les tours, sur les poitrines, des croix !
Sur les biens de ce monde, des croix !
Et dans le ciel une voix : " Je l'ai bien mérité :
La croix, pourquoi pour eux l'ai-je portée ? "

André Ady, Traduction Armand Robin, Le Libertaire, 19 avril 1946

Quant aux pépins de Vaga... Euh...franchement cette bédouine tient des propos bizarres ! A mon avis la poire n'y est pas étrangère...

VIVE le CERCLE!

Oui Robin, un grand traducteur mais aussi un auteur et une vie incroyable. (chez Ubacs à Rennes).

Vagabonde voit des CERCLES, là où d'autres verraient des éléphants roses !

Se mettre dans des états pareils à 10 h du mat ! Pfffffft !

Robin
fais gaffe !
car dès que ma bouteille est vide ( ce qui ne saurait tarder) je te la casse dessus ....

"Il me fait faire le tour de son travail. Il s'excuse : «je fais de mon mieux, mais je suis pauvre.» Pauvre, ce seul mot justifie toutes les circonstances de sa condition. Le mot «prolétaire», lui, est un terme de désaveu; il n'appartient plus à aucune langue et fut dès l'origine chargé de malédiction, jamais de consolation : des hommes étaient parqués en dehors de l'humanité, chassés non seulement de toute famille, de toute cité, mais encore de toute amitié. Le pauvre, lorsqu'il consent à s'appeler prolétaire, devrait sentir qu'il parle d'un autre et qu'il se démet de tous les bénéfices de sa pauvreté lorsqu'il s'abaisse à porter le nom d'infamie créé par ses ennemis pour témoigner de son incapacité radicale à prendre part à une confraternité. On ne s'aime pas quand on adopte un pseudonyme aussi lointain. Le mot «esclave» était presque beau en comparaison : il adhérait au malheur qu'il représentait et peut-être les esclaves n'ont-ils été libérés que parce qu'ils sont restés fidèles à leur infortune, qu'ils n'ont pas cherché d'alibis pour lui échapper et qu'à la fin l'homme libre a dû les estimer, les respecter, leur avouer, à eux qui ne demandaient rien, sa honte de ne leur avoir rien donné. La fraternité est toujours possible avec ceux qui aiment leur condition, si inhumaine soit-elle, et là où la fraternité est accordée à un nouveau groupe d'hommes la libération matérielle ne lui est plus guère longtemps refusée. La propagande révolutionnaire matérialiste apprend aux pauvres à haïr leur propre personne encore plus que la personne de leur ennemi; la lutte des classes est surtout une lutte contre sa propre classe, lutte vouée à l'échec car le pauvre y perd jusqu'à ses derniers bien matériels et n'y trouve que la trahison de ceux qui lui ont enseigné à trahir son état. Toute révolution qui aura pour idéal de détruire un état de pauvreté dont on ne voulait même plus prononcer le nom finira par le mépris des chefs pour ceux à qui ils auront appris à mépriser leur plus grand titre d'honneur."

extrait de : L'homme sans nouvelle, Armand Robin - Le temps qu'il fait.

BING!

Il KOSE de quoi le personne ???

celui là est quand même plus mignon...

Coucou Robinounet, bisousssssssss.
Préparez l'alcool de poire, faudra que Vagabonde se remette de son mp...

C' est pas une nuance , c' est un coup de vent!

Mais non juste une nomade...

Une nomade à petit moteur! :lol!:

Oui, oui, mais au moins, j'ai un moteur moi, je ne fais par fonctionner quelque étrange objet sédentaire à la bougie, moi madame !

Rires....
peut être une lanterne magique ..;mdrrrrrrrrrrrrrrr

moi aussi je met un flag suis raciste là na



BOCHEVIKIS SVOLECHISSSSSSSSSSSSSS!!!!!!!!!!:twisted: