Ohééé une NOUVELLE !!

Bonjour !!! Bisoussssssssss à ceux qui se reconnaitront !!
Voilà ce que j'ai concocté ce matin entre la cueillette des cerises, et la préparation du repas,puis la discussion avec une voisine ! A vos critiques svp !! merci !!

Accoudée sur le rebord de la fenêtre de ma chambre immaculée,

meublée par un lit , un chevet et une chaise de style espagnol, je regardais

s'étirer la rivière alanguie aux rives ombragées, j'apercevais au loin, les près où

paissaient les toros et quelques manadiers à cheval . Oh que j'étais bien là,

respirant à plein poumons ce petit air frais du matin chargé d'un parfum léger

d'iode et de lavandes mêlés . Je me retournais encore pour goûter à cette

ambiance si calme, après ma toilette j'avais refait le lit avec les beaux draps

blancs en fil et le couvre-lit bleu en tissu provençal qui illuminait la pièce .
Un tableau accroché à un des murs démontrait que j'étais l'hôte d'aficionados, il

représentait une arène remplie d'une foule multicolore en son centre un toro à

l'arrêt affronté par un matador en habit de lumière . Mon regard accroché au

tableau, j'entendais les vivas, la musique jouant des pasos-dobles, je voyais le

président agitant son mouchoir blanc, le toro allait il être gracié pour sa vaillance ?

Je fus tirée de ma rêverie par des cris de mécontentement, les cris des arènes

ebrouillés par les cris de l'hacienda dans laquelle je séjournais, une porte claquée

me fis sursauter et un bruit de galop s'éloigner .
Mon estomac se manifestant, je me décidais d'aller prendre mon petit déjeuner

dans le jardin sous la tonnelle, la maîtresse de maison souriante malgré ses traits

tirés vint à ma rencontre et me servit un thé , du pain grillé et de la confiture de

figues qu'elle préparait elle même, hummm !!! quel bonheur , ces bonnes choses me

rappelaient trop mon enfance et les bonnes tartines du goûter à la sortie de l'école

que maman me faisait ! Tout autour de ma table, d'autres petites tables habillées

de nappes de tissu provençal multicolores, qui jetaient un air de gaîté dans ce

patio si tranquille . Au bout de cette terrasse si avenante était attablé un

monsieur coiffé d'un panama en paille tressée, se protégeant du soleil matinal, je

le saluais, il me répondit distraitement tant il était absorbé par la lecture de son

journal, ses yeux dissimulés par de grosses lunettes d'écaille, sa grande moustache

bien taillée qui me faisait penser à celle d' Oncle Jules !
Ah !! si Oncle Jules avait pu être là, tout à côté de moi me faisant le récit de ses

extraordinaires voyages, intrigues à l'appui , Oncle JUles c'est une saga à lui tout

seul ; pendant que je buvais mon thé fumant à petites gorgées tout en ayant de

tendres pensées pour mon Oncle Jules, un bruit assourdissant nous fit lever la tête

vers le ciel, un petit hélicoptère noir et blanc tournoyait au-dessus de la propriété

puis il s'éloigna comme un gros bourdon à tire-d'aile . Le monsieur me sourit, il avait

un joli sourire doux avec de petites dents bien blanches et deux en or; j'analysais

aussitôt qu'il ne devait pas être fumeur, ses deux dents brillantes dénotaient qu'il

devait avoir l'âge de mes parents et celui d' Oncle Jules et ses mains délicates

qu'il devait être issu de la bourgeoisie .... Nous fûmes tirés de nôtre observation

réciproque par un jeune cavalier échevelé déboulant dans la cour d'accueil et

appelant à grands cris la maîtresse de maison qui enfourcha à son tour un cheval et

partit au galop . Aussi anxieux , d'un commun accord nous enfourchâmes deux vélos

posés contre un muret et filâmes en pédalant de toutes nos forces, nous suivîmes

le chemin pris par la cavalière . Attirés par des cris venant d'un fourré où les

joncs faisaient écran nous nous approchâmes doucement, et là nous decouvrîmes

les auteurs des voix, deux hommes, l'un plus âgé que l'autre qui se disputaient, le

plus âgé brandissait un fusil menaçant l'autre agenouillé devant lui, le suppliant de

ne pas tirer, le petit jeune arrivé sur ce lieu où le drame se jouait pleurant à

chaudes larmes, la peur au ventre. Je reconnus la voix du bonhomme à terre c'etait

la même que j'avais entendu de ma chambre . Nôtre hôtesse se précipita pour

désarmer le vieux, mais il la repoussa si sauvagement, qu'elle tomba à terre . D'un

signe de tête mon compagnon et moi nous nous faufilâmes derrière le chasseur ,

mon "complice" se jeta sur le vieux, d'un geste vif se saisit du fusil et beaucoup

de dextérité il déchargea l'arme, incroyable ! on aurait dit qu'il avait fait çà toute

sa vie ! Je ne lui fus utile que pour immobiliser le forcené avec une corde trouvée

dans une trousse du vélo !
Nous apprîmes par le vieux , hargneux mais plus calme que le jeune cavalier, le

fils de nôtre hôtesse, projetait d'occuper ses terres proches de ceux de

l'hacienda sans son autorisation en y faisant paître son troupeau de toros . Le

vieux , confus mesurant la gravité des faits auxquels il avait échappé grâce au

sosie d' Oncle Jules fondit en larmes . Ce dernier lui parla tout bas, j'avais beau

ouvrir mes chakras, grand mes oreilles, il était si discret, que je n'ai rien entendu,

par contre la réponse du vieux m'éclaira : Ah? c'était vous qui deviez venir à mon

secours ?

Merci pour cette nouvelle Ernestine, c'est toujours aussi gravement drôle :)
Bonjour aux manadiers, aux gardians, aux toros,
Bisous Ernestine

Désolée de toutes ces erreurs d'écriture, des fautes, soit par oubli de lettres soit par manque de ponctuation, soit par tournure, decidement une " nouvelle " çà se prépare comme un bon repas !! pas comme un lancer de crêpes !!!
MERCI la_nuance bisousssssssss et DIOGENE le décodeur en fait, c'est le tableau accroché au mur !!

Bisous à vous 2 enfin si DIOGENE daigne se pencher !! lollllllllll

Coucou Ernestine,
mais non ce ne sont pas des "erreurs" d'écriture.
L'écriture c'est comme la farine. Le pain lève mal quand on veut le préparer avec une farine trop blanche qui sert habituellement à faire les crèpes ou les beignets, par contre, il lève d'autant mieux avec une farine moins tamisée, moulue plus gros et qui contient nombre d'imperfections. Une peu comme tes nouvelles, ça fait fermenter les idées de partout.

ça va faire des étincelles, ces deux-là...
pourvu que le tonneau de Diogène n'en vienne pas à se changer en barril de poudre... :pale:

Mon « tonneau » c’est une « amphore » en terre même pas cuite, impossible de faire avec elle des « étincelles », ni d’ailleurs qu’un malveillant ne puise mettre le feu, pas de « poudre » non plus, juste des fleurs.

une petite chanson??? en faisant des crêpes!!! Oh mon tonneau oh eau ah qu'il est boooo mon tonneau!!!

tonneau?? je ne bois pas de ton eau !!! préfère du muscat miam miam!!!
oui je sais un peu fêler le pot de la tam!!!:*3:

Bravo ! je referais une 2ième lecture demain! jvais laisser la pate se reposer ^^

lol , j'imagine DIOGENE près de son barricot équipé d'un grand tablier de jardinier , d'un grand chapeau de paille, d'un grand sécateur, et de fleurs plein les mains et le tonneau ..........

MERCI de vos encouragements, ma nouvelle avait plutôt le parfum de l'eau de fleurs d'oranger que l'on rajoute à la pâte à crêpes, n'est ce pas ? lol, la prochaine fois faudrait que je choisisse le citron !!!

Bonjour !!

J'aime les roches granitiques grises, roses pour admirer leur aspect velouté et pour m'y adosser, non pour m'y heurter, trop dures !

Connaissez vous le Massif du Sidobre, moi pas encore ........ il se trouve dans le département du Tarn, faisant partie du Massif Central dont de la Montagne Noire, celle que j'apercevais de ma vigne ......
Il s'étale sur 10 km, on le visite parce qu'il est parsemé de gros rochers sculptés par l'érosion du temps et représentant soit des animaux fantastiques soit des objets qui incitent les promeneurs à fantasmer ........
Le Sidobre regorge de nombreux autres trésors tels que le rocher des Trois Fromages, le chaos de la Balme et de la Resse, le Saut de la Truite, ou le Lac du Merle...

Bonne journée et bisous à ceux qui se reconnaitront !

ahhhhh Ernestine que j'aime les noms de ses rochers ,cela me fait pensée aux histoires de fées de lutins des gnomes et et et .... des noms d'histoires fantastiques imaginaire mystérieux et enchanteurs!!!! je me suis baladée dernièrement dans le Limousin, des noms de village comme j'aime!!!!oh ce fût magique j'y ai même rencontré Merlin !!!!dans son sac il y a des tas des tas de choses surprenante!!!! un appareil photo, des fusains et surtout un livre( les poèmes de Ronsard ) son prénom n'est ni jules !!! ni Merlin !! mais quel voyage !!!!!trop court vraiment trop court!!!

Bonsoir

une histoire peut en cacher une autre ................... à 2 H 20 du matin !!! Bonne nuit !!!

Accoudée sur le rebord de la fenêtre de ma chambre immaculée,

meublée par un lit , un chevet et une chaise de style espagnol, je regardais

s'étirer la rivière alanguie aux rives ombragées par de saules aux troncs tortueux

abritant plusieurs pêcheurs taquinant le poisson, j'apercevais au loin, les près où

paissaient les toros et quelques manadiers à cheval . Oh ! que j'étais bien là,

respirant à plein poumons ce petit air frais du matin chargé d'un parfum léger

d'iode et de lavandes mêlés . Je me retournais encore pour goûter à cette

ambiance si calme, après ma toilette j'avais refait le lit avec les beaux draps

blancs en fil et le couvre-lit bleu en tissu provençal qui illuminait la pièce .
Un cadre accroché à un des murs démontrait que j'étais l'hôte d'aficionados, il

représentait une arène remplie d'une foule multicolore en son centre un toro à

l'arrêt affronté par un matador en habit de lumière . Mon regard accroché au

tableau, j'entendais les vivas, la musique jouant des pasos-dobles, je voyais le

président agitant son mouchoir blanc, le toro allait il être gracié pour sa vaillance ?

Je fus tirée de ma rêverie par des cris de mécontentement, les cris des arènes

embrouillés avec les cris de l'hacienda dans laquelle je séjournais, une porte

claquée me fis sursauter et un bruit de galop s'éloigna .
Mon estomac se manifestant, je décidais d'aller prendre mon petit déjeuner dans

le jardin sous la tonnelle, la maîtresse de maison souriante malgré ses traits tirés

vint à ma rencontre et me servit un thé , du pain grillé et de la confiture de figues

qu'elle préparait elle même, hummm !!! quel bonheur , ces bonnes choses me

rappelaient trop mon enfance et les bonnes tartines du goûter à la sortie de l'école

que maman me préparaient ! Tout autour de ma table, d'autres petites tables

habillées de nappes en tissu provençal multicolores, qui jetaient un air de gaîté

dans ce patio si tranquille . Au bout de cette terrasse si avenante était attablé un

monsieur coiffé d'un panama en paille tressée, se protégeant du soleil matinal, je

le saluais, il me répondit distraitement tant il était absorbé par la lecture de son

journal, ses yeux dissimulés par de grosses lunettes d'écaille, sa grande moustache

bien taillée qui me faisait penser à celle d' Oncle Jules !
Ah !! si Oncle Jules avait pu être là, tout à côté de moi me faisant le récit de ses

extraordinaires voyages, intrigues à l'appui , Oncle JUles c'est une saga à lui tout

seul ; pendant que je buvais mon thé fumant à petites gorgées tout en ayant de

tendres pensées pour mon Oncle Jules, un bruit assourdissant nous fit lever la tête

vers le ciel, un petit hélicoptère noir et blanc tournoyait au-dessus de la propriété

puis il s'éloigna comme un gros bourdon à tire-d'aile, comme pris en defaut de

curiosité . Le monsieur me sourit, il avait un joli sourire doux avec de petites dents

bien blanches et deux en or; j'analysais aussitôt qu'il ne devait pas être fumeur,

ses deux dents brillantes dénotaient qu'il devait avoir l'âge de mes parents et celui

d' Oncle Jules et ses mains délicates qu'il devait être issu de la bourgeoisie ....

Nous fûmes tirés de nôtre observation réciproque par un jeune cavalier échevelé

déboulant dans la cour d'accueil et appelant à grands cris la maîtresse de maison

qui enfourcha à son tour un cheval et partit au galop . Aussi anxieux l'un que

l'autre, , d'un commun accord nous enfourchâmes deux vélos posés contre un

muret et filâmes en pédalant de toutes nos forces, nous suivîmes le chemin pris

par la cavalière . Attirés par des cris venant d'un fourré où les joncs faisaient

écran nous nous approchâmes doucement, et là nous decouvrîmes les auteurs des

voix, deux hommes, l'un plus âgé que l'autre qui se disputaient, le plus âgé

brandissait un fusil menaçant et l'autre agenouillé devant lui, le suppliant de ne pas

tirer, le petit jeune arrivé sur ce lieu où le drame se jouait pleurait à chaudes

larmes, la peur au ventre. Je reconnus la voix du bonhomme à terre c'etait la même

que j'avais entendue de ma chambre . Nôtre hôtesse se précipita pour désarmer le

vieux, mais il la repoussa si sauvagement, qu'elle tomba à terre . D'un signe de tête

mon compagnon et moi nous nous faufilâmes derrière le chasseur , mon "complice"

se jeta sur le vieux, d'un geste vif se saisit du fusil et avec beaucoup de

dextérité il déchargea l'arme, incroyable ! on aurait dit qu'il avait fait çà toute sa

vie ! Je ne lui fus utile que pour immobiliser le forcené avec une corde trouvée

dans une trousse du vélo !
Nous apprîmes par le vieux , hargneux mais plus calme que le jeune cavalier, le

fils de nôtre hôtesse, projetait d'occuper ses terres proches de celles de

l'hacienda sans son autorisation en y faisant paître son troupeau de toros . Le

vieux , confus mesurant la gravité des faits auxquels il avait échappé grâce au

sosie d' Oncle Jules fondit en larmes . Ce dernier lui parla tout bas, j'avais beau

ouvrir mes chakras, grand mes oreilles, il était si discret, que je n'ai rien entendu,

par contre la réponse du vieux m'éclaira : Ah? c'était vous qui deviez venir à mon

secours ?

la suite dis......................... c'était pas oncle Jules tout de même ???????????????????????????????

Bonjour !!

Ah, seul Oncle Jules pouvait savoir où il se trouvait !!lol !! Gy !!
Bisousssssss
Là je fais réponse à Tam !!!

Merlin son précieux livre de parchemin, une rose fraichement cueillie conservée

précieusement entre les feuillets où la rosée du matin avait tracé un léger filet,

enjamba les gorges du Tarn d'un saut et d'un pas pressé courut retrouver la belle

Mélusine au pied d'un dolmen perdu sur le plateau du Larzac où l'herbe est rase

que seuls les moutons et brebies l'apprécient , ce qui explique peut être le goût

particulier du roquefort . Au pied de ce dolmen pousse un beau rosier, le reflet

peut être de l' amour que porte Merlin à Mélusine , mais par quel mystère a t 'il pu

se développer ici sur cette terre ingrate, peut être grâce à ce signe cabalistique

gravé dans le granit du dolmen représentant un triangle dans un cercle . Merlin

expliqua à la belle Mélusine qu'ils se trouvaient au milieu du cercle représentant la

Vie, la Nature, l' éternel recommencement . Face à face là, une aura les

enveloppant ensemble aux pieds du dolmen, leurs coeurs palpitant au même

rythme, ils s'assirent, Merlin commença de lui réciter les célèbres vers avec une

grande douceur :
" Mignonne, allons voir si la rose ......... aussitôt qu'il ait prononcé ces paroles

mythiques de magnifiques rosiers se mirent à jaillir , là de cette terre si aride et à

les encercler . D'un bond, Mélusine éblouie se leva pour les admirer de plus près

suivi de Merlin empressé . Celui-ci s'approchant trop près d'une des belles qui

allongeait un peu trop ses étamines afin de se faire remarquer déclencha chez lui

une cascade d'éternuements si puissants que certains rosiers se transformèrent

en chardons .

mdr décidément cette Mélusine elle ne devrait pas trop approcher du sud .. dans un des contes que j'ai écrit, pour une balade contée en Lozère, elle avait confondu une goutte de rosée sale avec des boutons_ maladie sur un églantier ..

ihihih Enestine, j'aime bcp tu me rappelles la les récits que j'ai savouré regarder le paysage et réciter des vers!!! ou conter une histoire fantastique ou réel c'est magique chacun sait ou se trouve son oncle Jules

merci pour la petite histoire:*1:

Fichtre!
J' apprends !
car je ne connais point d' histoire ou Merlin et Mélusine se rencontrent??????
pauvre Raymondin , en plus de malheureux , il va devenir jaloux!!!!!!

ça doit être un coup de l'Oncle Jules!!!

Sacré oncles Jules !