pour RÊVEUR.........

Rêveur, quand es tu libre pour me tenir ma tite main;) pour 007 james pte???? comme cela lorsque Vaga reviens éhéhé en route pour la corée!!!
bisous l'ami:*7:

Il suffit de me dire quand tu veux

Bisous tam

éhéhéh coucou gentil Rêveur , je suis libre demain de 9h a 15h comme la sardine est a l'huile est ce que cela t'arrange ????? bisous bisous!

Ok Tam


On regarde ca demain matin

Elles sont pas belle mes poupéees tam ?

mais c'est moi!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

ououou téééééééééééééééééé

je ne sais pas rester devant mon pc j'attend ton bip bip tel!!! kissss

yessssssssssss merci l'ange;) une grosse médailles avec des gros bisous !!! ordre de la patience j'ai mis sur ton ftp j'espère qu'il est bien mis !!!bonne aprés midi :*1:

merciiiiiiiiiiiiiii pour la détente !!! en plus la zig !!!!!! wouaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
tiens je te fais un smack a la russe :lol!:

Waouh a la russe...........................


Attend j'essuie ma bouche

je te fais un bec en canadien

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Le bec sucré du canadien français!

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Quelle charmante appellation! Cette belle réputation associée aux canadiens français depuis bien des années représente l’un de nos héritages les plus riche. Non pas pour ce qu’elle dit mais plutôt pour ce qu’elle signifie. Cette notoriété nous vient en fait de l’érable à sucre et de la transformation qui nous est possible de faire avec la sève de l’arbre. Cette belle découverte nous vient des Amérindiens qui, bien avant leur rencontre avec les Européens, faisaient la transformation de l’eau d’érable. À l’aide de leurs tomawaks, ils entaillaient l’écorce de l’érable en forme de V pour y fixer une petite planche de bois qui amenait l’eau dans un récipient d’écorce. L’eau ainsi récoltée était ensuite bouillie pour donner du sirop d’érable. Cette opération était répétée à chaque début de printemps. Ce procédé fut transmis aux premiers colons français par les Premières Nations lors de leurs premiers échanges, il y a de cela quelques siècles. Grâce aux Amérindiens, nous avons introduit dans nos us et coutumes cette méthode qui fait maintenant partie de notre patrimoine national. Depuis cette première découverte, bien des développements ont été faits en la matière. Aujourd’hui, il n’est plus question de petite production artisanale comme autrefois. Il est toujours possible de faire la récolte de l’eau d’érable à l’aide de chaudières au niveau des petits établissements, mais la grande majorité des acériculteurs commerciaux font la cueillette par tubulures. • Récolte par chaudières : On entaille les arbres pour y fixer un chalumeau qui fait descendre la goûte de sève dans la chaudière, qui est ensuite transvidée dans un baril, qui lui est versé dans un réservoir. Par la suite, l’eau est bouillie dans un champion (le récipient où l’eau est bouillie jusqu’à la formation du sirop d’érable). • Récolte par tubulure : Des tubes de plastique récoltent l’eau d’érable directement à la source. Elle est transportée jusqu’aux réservoirs par les tubulures, pour ensuite être bouillie dans le champion. Pour transformer la sève en sirop d’érable, il faut bouillir l’eau d’érable jusqu’à un certain degré. Ce degré dépend de la pression atmosphérique, du lieu et du moment. Le même procédé est entrepris pour la tire, cependant il faut faire chauffé l’eau plus longtemps pour atteindre le degré voulu. Avant d’être commercialisé, le sirop d’érable doit être classé selon son niveau de clarté : • Canada no. 1 (extra clair, clair, medium) • Canada no. 2 (amber) • Canada no. 3 (foncé) Cette coutume vient de l’époque où le sirop d’érable devait être similaire au sirop de la canne à sucre (plus réputé à ce moment). C’est pourquoi le sirop le plus clair a le plus de prestige, malgré que son goût soit moins prononcé. Il existe une grande variété de produits dérivés autres que le sirop et la tire : les bonbons, le beurre, le caramel, le pain de sucre et les boissons alcoolisée. De nombreuses recettes traditionnelles canadiennes sont composées de sirop d’érable tel que les fèves aux lards, la tarte au sirop d’érable et les crêpes. L’emplacement géographique et le climat uniques du Québec, de l’Ontario et du Vermon, aux États-Unis, favorisent l’acériculture. Il est intéressant de savoir que 85% de la production mondiale de sirop d’érable est faite au Canada. (www.siropderable.ca) Les vallées du Québec et de l’Ontario sont composées de nombreuses érabilières. Cet héritage offre un caractère unique aux canadiens français de partout au pays. Lorsque l’hiver achève et que le printemps revit, une agitation ce fait sentir dans les bois de ces deux provinces. Réunit autour d’un repas traditionnel composé d’une soupe au pois, de fèves aux lards, de jambon, d’œufs, de pâtés à la viandes, d’oreilles de crisse, de crêpes et de tire sur la neige, cette époque de l’année est une manière de se rassembler et de faire revivre les veilles traditions d’autrefois. Nombreux sont les amateurs de ces délices! :lol!: