Bon, on va encore se remonter les manches,
vaga va nous faire mourir avec ses explications :twisted: :twisted: :twisted:
Bref, dans ma culture, qui vient de je ne sais où, la tresse, c'est quelque-chose de TRES TRES TRES important.
Voire d'extrèmement sérieux. C'est d'ailleurs le seul truc avec lequel je ne plaisante pas.
Toutes petites, notre pas sainte femme de mère nous apprenait à "faire nos tresses", sur de la laine, du tissus, et bien sûr, avec nos cheveux.
J'ai du apprendre à décoder les tresses, comme vagagonde à appris à décoder les cartes. lol
Non non, rien à voir avec les deux nattes, une de chaque côté, pour aller à l'école, et en usage ausi chez nombre de pitchounettes occidentales.
LA tresse, l'unique, celle qui ne sépare pas la chevelure, et que l'on devait faire tenir d'elle-même, sans élastique ni ruban, par le simple fait de tresser d'une certaine manière les derniers brins de la tresse.
Le ruban avait aussi son importance. Il n'était pas seulement là pour nouer le tout, il se doit d'être tressé en même temps que les cheveux. Et même parfois, plusieurs rubans de différentes couleurs, transformant ainsi la tresse de cheveux en tresse de rubans multicolores, tandis que d'autres rubans, à l'air libre, simulent les cheveux qui eux, sont regrouppés en tresse.
Ce que signifie vraiment tout celà, je ne sais pas.
Mais faites gaffe au jour où ma tresse est entremêlée du haut en bas d'un ruban blanc. C'est signe de guerre.
Blanc, comme le drapeau des rois de France en temps de guerre (en temps de paix, il est bleu). Comme quoi, le langage des couleurs est parfois universel.
Veuillez m'excuser si j'ai fait un peu long, mais, je ne suis pas prête de couper ma tresse non plus.... :bounce: :bball: :bounce: :bball: :bball: :bounce:
Ven 14 Avr - 15:07
