CONTES , histoires sur l\' écologie

ooooooooooooooooohhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh pour la montagne je crois que j'ai un truc pas mal ........... connais tu la danse de la montagne??????????????????????????? c'est pas vraiment sur la création

Une excellente occasion , GY , pour nous faire partager cette " DANSE de la MONTAGNE" ...
J' ai ouvert ce post pour des échanges sur le bien fondé de réfléchir à notre planète .....

je résume :
en chîne, un couple cherche l'endroit idéal pour construire leur maison, ils trouvent une montagne, toute ronde, très haute, très large, ils construisent cette maison au pied de la montagne ..
mais voilà t il pas que la montagne crache des cailloux, et cela fait des trous dans le toit..
pas grave, saison chaude, la nuit c'est agréable ça fait des courants d'air.. mais la moisson arrive, l'eau rentre par les trous, inonde la maison ... pas grave tout va sécher à la saison chaude, grâce au soleil ... v'là la saison chaude : hélas la montagne est trop ronde, trop haute, trop large : elle empêche le soleil de venir sécher et tout moisi ............ plus qu'une seule chose à faire : déplacer la montagne oui mais comment?

Rires!
Où comment faire compliqué quand on peut faire simple ...

Elle me plaît ton histoire ....et me donne des idées ...
Je suis preneuse
RETROUVE Là!
avec sa source .....lol! :lol!: :lol!: :lol!: :lol!: :lol!:

un conte sur les étoiles j'en ai un d'un ami ça s'appelle la petite étoile qui avait peur il est trop beau ce conte .................... il termine toujours mes racontées ... euh tu crois que ça peut le faire pour tes petits? c'est l'histoire d'une petite étoile qui aime rendre service l'étoile du berger lui dit que son rôle c'est d'aider les gens à trouver et à suivre leur chemin ... elle voudrait les aider mais elle vit en plein jour et sa lumière ne peut égaler celle du soleil .... une vieille étoile sage (les vieilles étoiles sont toujours sages comme nous les vieux quoi ) et lui dit d'aller vers la nuit sauf que ............ la petite étoile elle ne connait pas la nuit et quand elle se trouve là au bord de cette inconnue elle a peur ... normal quand on ne connait pas les gens les choses on a toujours peur ..

Vagabonde a écrit:

Rires!
Où comment faire compliqué quand on peut faire simple ...

Elle me plaît ton histoire ....et me donne des idées ...
Je suis preneuse
RETROUVE Là!
avec sa source .....lol! :lol!: :lol!: :lol!: :lol!: :lol!:

la source c'est un conte traditionnel chînoîs je l'ai entendu et je l'ai ré écris à ma façon suivant mon coeur je te l'envoie ici même!!!!

OK! aussi pour celle ci ....celle de la petite étoile peureuse...lol!

Au fait , je vais te dire le livre de base qui nous à aider dans cette recherche du projet éducatif pour l' année 2009:

Mille ans de contes
NATURE (paru dernierement chez MILAN)

Je n' aimais pas cette collection , mais avec leur nouvelle présentation et leurs illustrations , ces recueils deviennent plus atrayants ....

LA DANSE DE LA MONTAGNE.




Il était une fois, dans une province de Chine, un homme et une femme, qui venaient de se marier. Ils voulaient construire leur maison dans un endroit bien abrité. Ils ont cherché longtemps, très longtemps. Ils découvrirent, un jour une belle montagne très large et très haute. Ils la trouvèrent si belle, si large et si haute qu’ils décidèrent de construire leur maison, au pied de cette montagne.
Une fois la maison finie, ils firent un petit jardin, juste devant la porte d’entrée. Ils semèrent toutes sortes de graines qui donneraient de belles fleurs après la mousson.

Mais la montagne crachait des cailloux . Et Les cailloux firent des trous dans le toit de la maison. Ce n’était pas gênant pendant la saison sèche, la nuit, il y avait des courants d’air, et pour dormir c’était l’idéal. Mais, quand arriva la mousson, la pluie passa par les trous. Tellement que l’homme et la femme durent ouvrir la porte pour chasser toute l’eau qui avait envahie la maison. Ils ne s’inquiétèrent pas. Avec la saison sèche, le soleil avec ses rayons si chauds, enlèverait toute l’humidité de la maison.
Et la saison tant attendue arriva. Mais la montagne était si large et si haute qu’aucuns rayons du soleil ne pouvaient la traverser, et ne purent sécher la maison, et, tout à l’intérieur fut moisi et aucune fleur ne poussa dans le jardin ! ! !

La femme se mit dans une colère épouvantable :
« Regarde pas de fleurs dans notre jardin et tout est moisi dans notre maison. C’est la faute de la montagne ! ! ! elle est trop haute et trop large. Je connais un sage qui habite le village voisin, tu devrais aller le voir dés demain matin, au lever du soleil. Il est si savant qu’il trouvera une solution.

Le jour à peine levé l’homme partit pour l’autre village. Il trouva le sage, assis au milieu de la place centrale.

« Bonjour, dit le sage. Que me veux-tu ?
- C’est la montagne, qui est là-bas. Elle crache des cailloux, et les cailloux font des trous dans le toit de notre maison ! ! ! Pendant la mousson, la pluie est passée par ces trous et a inondé tout l’intérieur. Nous avons attendu patiemment le retour du soleil .Mais la montagne est si haute et si large que notre maison et notre jardin sont toujours à l’ombre. Résultat : tout est moisi dans la maison et rien ne pousse dans notre jardin ! Et ma femme, ma femme veut pousser la montagne ! ! Comment faire ?
- Je réfléchis !
Et le sage réfléchit longtemps !
- J’ai une idée ! ! ! ! Avec tous les habitants du village tu vas aller dans la forêt et vous abattrez l’arbre le plus droit et le plus haut. Ensuite, avec l’arbre, vous appuierez très fort sur la montagne et vous pousserez tous ensemble de toutes vos forces, et la montagne s’en ira.

Tout heureux l’homme courut sur le chemin qui le ramène chez lui et il expliqua à sa femme :
« Avec tous les habitants du village nous allons chercher dans la forêt l’arbre le plus droit et le plus haut . Nous l’abattrons. Ensuite nous l’appuierons très fort sur la montagne, nous pousserons tous ensemble, de toutes nos forces, et la montagne s’en ira. »

ET C’EST CE QU’ILS FIRENT.TOUTE L‘APRES MIDI, JUSQU’AU SOIR. MAIS LA MONTAGNE N’AS PAS BOUGE.

Et le soir tous les habitants du village eurent les bras et les jambes bien fatigués ! ! ! Et cette montagne qui n’avait pas bougé. La femme se mit dans une terrible colère :
- Tu devrais retourner voir le sage, dés demain matin, au lever du soleil. Il est si savant qu’il trouvera une autre solution, pour faire bouger cette vilaine montagne ! ! ! !

Le jour à peine levé, l’homme partit pour l’autre village. Il trouva le sage, assis au milieu de la place centrale
« Bonjour, dit le sage. Que me veux-tu ?
- Nous avons fait tout ce que tu nous dit mais la montagne n’a pas bougé. Ma femme s’est mise en colère..... Tu n’aurais pas une autre solution ?
- Je réfléchis !
Et le sage réfléchit longtemps, longtemps, longtemps.
- J’ai une idée ! ! ! ! Avec tous les habitants de ton village vous allez prendre des ustensiles de cuisine : des casseroles, des couvercles, des louches, et avec, vous allez taper de toutes vos forces en faisant le tour de la montagne. Elle va avoir tellement mal aux oreilles qu’elle va s’enfuir.
Tout heureux l’homme courut sur le chemin qui le ramène chez lui et il expliqua à sa femme :
« Avec tous les habitants du village nous allons prendre des couvercles, des casseroles, des louches, et avec, nous allons taper très fort en faisant le tour de la montagne . Elle aura si mal à ses oreilles qu’elle s’en ira. »

ET C’EST CE QU’ILS FIRENT.TOUTE L‘APRES MIDI, JUSQU’AU SOIR. MAIS LA MONTAGNE N’AS PAS BOUGE.

Et le soir, tous les habitants du village eurent bien mal aux oreilles! ! ! Et cette montagne qui n’avait pas bougé. La femme se mit dans une horrible colère :
- Tu devrais retourner voir le sage, dés demain matin, au lever du soleil. Il est si savant qu’il trouvera une autre solution, pour faire bouger cette vilaine montagne ! ! ! !

Le jour à peine levé l’homme partit pour l’autre village. Il trouva le sage, assis au milieu de la place centrale
« Bonjour, dit le sage. Que me veux-tu ?
- Nous avons fait tout ce que tu nous dit mais la montagne n’a pas bougée. Ma femme s’est mise en colère..... Tu n’aurais pas une autre solution ?
- Je réfléchis !
Et le sage réfléchit longtemps, longtemps, longtemps, longtemps, longtemps, longtemps, longtemps.
- J’ai une idée : tu vas flatter les génies de la montagne. Avec ta femme, vous allez faire toutes sortes de pains : des ronds , des longs, des pains au chocolat, des pains aux raisins, des pains complets, des pains aux noix ............... et dés demain, vous monterez jusqu’au sommet de la montagne, là où habitent les génies. Vous leur donnerez les pains, et pour vous remercier ils feront bouger la montagne.

Tout heureux l’homme court sur le chemin qui le ramène chez lui et il explique à sa femme :
« Nous allons flatter les génies de la montagne. Il nous faut faire toutes sortes de pains : des ronds , des longs, des pains au chocolat, des pains aux raisins, des pains complets, des pains aux noix ............ et dés demain nous monterons jusqu’au sommet de la montagne, là où habitent les génies, nous leur donnerons tous nos pains, et pour nous remercier, ils feront bouger la montagne. »

ET ILS FIRENT.DES PAINS TOUTE L‘APRES MIDI, JUSQU’AU SOIR.

Le lendemain matin, au lever du soleil, l’homme et la femme mirent tous les pains dans deux paniers et ils recouvrirent les paniers avec un joli torchon. Au début de l’ascension une toute petite brise soufflait, mais plus ils montaient et plus le vent devenait fort. Si fort, qu’au tiers du voyage les torchons s’envolèrent. Plus l’homme et la femme montaient, plus le vent soufflait fort, si fort qu’il emporta tous les pains. L’homme et la femme n’en étaient qu’à la moitié du chemin, et ils n’eurent plus qu’une chose à faire : REDESCENDRE.
Mais cette fois-ci la femme ne dit rien. Et tous les deux vont se coucher bien triste.
Le lendemain matin alors que sa femme dormait encore, tout doucement l’homme se leva et alla vers l’autre village et retrouver le sage assis au milieu de la place centrale.

« Bonjour, dit le sage. Que me veux-tu ?
- Nous avons fait les pains comme tu nous l’a dit. Mais à la moitié du chemin, le vent était si fort qu’il les a emportés dans le ravin !. Tu .... tu.....tu n’aurais pas une autre solution ?
- Je réfléchis !
Et le sage réfléchit longtemps, longtemps, longtemps, longtemps, longtemps, longtemps, longtemps, longtemps, longtemps, longtemps, longtemps, longtemps, longtemps, longtemps.
- J’ai une idée : tu vas démonter ta maison et tu en feras dix paquets. Cinq pour toi, cinq pour ta femme. Vous mettrez chacun un paquet sur la tête, un sous chaque bras, et un dans chaque main. Vous vous mettrez face à la montagne. Vous la regarderez bien dans les yeux. Vous compterez jusqu'à dix. Vous fermerez les yeux. Et vous ferez la danse de la montagne : comme ceci.
ET LE SAGE SE LEVA ET MONTRA LES PAS DE LA DANSE DE LA MONTAGNE.

Tout heureux l’homme courut sur le chemin qui le ramène chez lui et il expliqua à sa femme :
« Dés demain matin, nous démonterons la maison et nous en ferons dix paquets. Cinq pour toi, cinq pour moi. Nous mettront chacun un paquet sur la tête, un sous chaque bras, et un dans chaque main. Nous nous mettrons face à la montagne. Nous la regarderons bien dans les yeux. Nous compterons jusqu'à dix. Nous fermerons les yeux. Et nous ferons la danse de la montagne : comme ceci, jusqu'à la nuit.

ET L’HOMME MONTRA LE PAS DE LA DANSE DE LA MONTAGNE A SA FEMME.

Le soleil à peine levé, le mari et sa femme démontèrent la maison, en firent dix paquets. Cinq pour l’un, cinq pour l’autre. Ils mirent un paquet sur la tête, un sous chaque bras, un dans chaque main et ils commencèrent la danse de la montagne (les pas peuvent être fait par une des personnes qui écoute le conte)
LE PIED DROIT DERRIERE LE PIED GAUCHE, LE PIED GAUCHE DERRIERE LE PIED DROIT !
LE PIED DROIT DERRIERE LE PIED GAUCHE, LE PIED GAUCHE DERRIERE LE PIED DROIT !
LE PIED DROIT DERRIERE LE PIED GAUCHE, LE PIED GAUCHE DERRIERE LE PIED DROIT ! ET AINSI JUSQU’AU COUCHER DU SOLEIL !

L’homme et la femme ouvrirent leurs yeux et ils furent enfin très heureux : ils avaient réussi à déplacer la montagne. Elle était partie si loin, que là bas elle était toute, toute petite.
Et depuis ce jour-là, tous les matins, en se levant, l’homme et la femme regardent cette montagne, qu’ils ont réussi à faire partir ! ! ! ! ! !

ben v'là la danse de la montagne je pars à la recherche de la petite étoile qui avait peur ........... j'ai le livre j'm'demande si j l'ai sur l'ordinateur je cherche ......... et sur les quatre temps de la vie? un conte relevé par les frères grimm j'adoooooooooooooooooore ........... euh je l'ai ré écrite avec mes mots j'dois l'avoir ..............

Merci! :*7:

Cette histoire vient de rejoindre mon SACADO d' histoire ..... :*6: :*6: :*6: :*6:

Dans patience dans l'azur, le bouquin

dès l'intro, Hubert Reeves, dit que l'histoire de l'univers, en gros, c'est l'histoire d'une montagne qui accouche d'une souris

Et c'est un miracle que de cette grosse masse inerte, apparaisse la magnifique complexité de la vie, que représente la souris

Alors que dans le langage populaire, une montagne que accouche d'une souris, est une expression utilisé pour dire qu'on en fait beaucoup pour pas grand chose, je ne connaissais pas cette expression

Je pense que bien expliqué, même les enfants peuvent comprendre

Les 4 temps de la vie


C’était le premier samedi, Dieu avait finit sa création, enfin presque, puisqu’Il avait un grand sac sur le dos avec plusieurs longueur de vie une pour chaque espèce d’animal.
Dieu appela l’âne
- Es-tu content de la vie que je t’ai donnée ? Tu as de longues oreilles une grande queue pour chasser les mouches, un beau pelage soyeux. Avec tout ça tu dois être très heureux je te donne quarante ans de vie.
- Quarante ans dit l’âne, non, non je vais transporter des charges plus lourdes que moi, recevoir des coups de bâton, des insultes, et comme nourriture je devrais me contenter d’épines et tout ça pendant quarante ans !
- C’est vrai dit Dieu je t’enlève trente ans tu auras dix ans de vie.
Dieu mis les trente années dans son grand sac et appelle le suivant
Le suivant c’est le chien.
-Toi le chien, tu es satisfait de ton sort. Tu ne travaille pas beaucoup, tu vas à la chasse, tu vis au grand air. Tu dois être heureux, je te donne trente ans à vivre.
- Trente ans dit le chien non, non pour être nourris de peaux de saucisson,de coup de pied, à être tordu de rhumatismes, vivre à la cave, non, non trente ans c’est beaucoup trop.
- Je t’enlève vingt ans. Tu ne vivras que dix ans. Es-tu satisfait ?
- Dix ans pour une vie de chien c’est bien suffisant.
Dieu mis les vingt années du chien dans son grand sac et appelle le suivant.
Le suivant c’est le singe.
- Ah toi le singe, toi qui passe ton temps à jouer dans les arbres, à te balancer au bout de ta queue, à faire rire les enfants avec tes grimaces, toi tu dois être heureux. Je te donne vingt ans de vie.
- Vingt ans dit le singe non, non. Mes grimaces c’est pour cacher mon chagrin. Les gestes qui font rire les enfants ce sont les puces qui me piquent qui me grattent. Tu vois bien Seigneur que je ne suis pas heureux, non, non vingt ans c’est beaucoup trop.
- Je t’enlève dix ans, la moitié, tu vivras dix ans
Dieu mis les dix années dans son grand sac. Et …. Il… appelle…. Le suivant. Et le suivant c’est …… l’homme.
- Homme dit Dieu tu domine la création, les plantes et les animaux te sont soumis, tu dois être satisfait. Je te donne vingt ans de vie.
- Vingt ans de vie dit l’homme non, non, vingt ans de vie j’ai tout juste le temps de grandir et me voilà au cimetière. Non, non vingt ans c’est bien trop court.
Dieu regarde dans son grand sac là où Il avait mis plusieurs longueur de vie. Il y trouve les trente ans de l’âne.
- J’ai là dans mon sac les trente années que n’a pas voulu l’âne. Je te les donne cela te fera cinquante ans.
- Cinquante ans, cinquante ans, j’aurai travaillé comme un forçat et je n’aurais point de repos. Non, non il m’en faut un peu plus.
Dieu regarde à nouveau dans son grand sac, Il y trouve les vingt ans du chien.
- J’ai là dans mon sac les vingt ans que n’a pas voulu le chien. Je te les donne cela te fera soixante dix ans de vie.
- Soixante dix ans, soixante dix ans, je pourrais pas avoir encore un tout petit plus, le temps de finir ma vie entouré de mes enfants et petits enfants ?
Dieu regarda dans son grand sac Il y trouva les dix ans du singe.
- J’ai là dans mon sac les dix ans que n’a pas voulu le singe Je te les donne, mais après mon sac est vide je ne peux pas aller plus loin.
Et c’est ainsi que l’homme reçu une espérance de vie de quatre vingts ans.
Les vingt premières années ce sont les siennes. Il grandit en force et en sagesse.
Les trente années suivantes ce sont celles de l’âne années de travail et de soucis.
Les vingt années suivantes ce sont celles du chien années de calme et de rhumatismes.
Les dix années suivantes, les dernières, ce sont celles du singe. Par ses maladresses, ses paroles pas toujours sensées, ses envies un peu bizarres il fait rire son entourage. Et ce n’est jamais pour très longtemps.
Hum je me demande si le conteur compte toujours juste.


le texte tel quel

Pourquoi l’âge ?

Dans les petits bois de Gy un singe est venu sur mon épaule il m’a cherché des poux dans la tête je n’en avais point il m’a tiré l’oreille me disant
- Suis un p’tit peu de toi tu es un p’tit peu de moi ..
Il a disparu dans les branches avant que j’ouvre la bouche pour lui demander..
J’ai continué mon chemin .. un âne est arrivé derrière moi, il m’a donné un coup de tête dans le dos, soufflé dans mon cou, penché sa tête, m’a regardée et dit :
- suis un p’tit peu de toi tu es un p’tit peu de moi ..
Je l’aurais bien interrogé mais il avait déjà disparu..
J’ai continué mon chemin, un chien est venu se frotter à ma jambe là je l’ai pris par la peau du cou, je l’ai regardé, il m’a dit :
- suis un p’tit peu de to,i tu es un p’tit peu de moi
- Tu peux m’expliquer ?
- Lâche moi et j’t’dirai..
Je l’ai lâché, je n’aurais jamais dû, il s’est enfui , mais le vent mon ami m’a gentiment raconté l’histoire
- Ecoutez :
Dieu créa le ciel et la terre, il a partagé le ciel en deux, il a fai,t le ciel de nui et le ciel de jour, dans le ciel de jour, il a mis le soleil, dans le ciel de nuit, les étoiles et la lune
Dieu est descendu sur la terre, il a creusé les lacs, les rivières, les océans, les mares et il les a remplis d’eau , ensuite il a semé les forêt,s planter les fleurs et les plantes, puis il a modelé les animaux, la dernière chose qu’il a faite et j’m’demande si c’est la meilleure des idées : il a créé l’homme à son image..
Dieu était devant son ordinateur quand le mot « temps » c’est inscrit sur son écran, mais Dieu ne connaît pas le temps, il est le passé, le présent et le futur, il demande à un ange de lui expliquer, Dieu a très vite compris il prend sa calculette et il descend sur la terre

Sur le chemin il rencontre un âne :
- Bonjour l’âne dit Dieu
- Bonjour dit l’âne en baissant la tête par respect pour Dieu, que puis-je pour toi ?
- Toi ? rien, je suis venu te dire que tu bénéficies de trente ans de vie
- Trente ans ? non, non Dieu trente ans mais c’est beaucoup, beaucoup trop ?
- Pourquoi donc ?
- Trente ans, à porter de lourds fardeaux, à travailler sans arrêt, trente ans à recevoir des coups de bâtons des coups de pieds, des injures parce que je n’avance pas , non trente ans c’est bien trop long !
Dieu fit de savants calculs sur sa calculette :
- Si je t’enlève 18 ans ça ira demanda Dieu
- Parfait dit l’âne
- Au revoir l’âne
- au revoir Dieu
Dieu reprit le chemin et il rencontra le chien :
- Bonjour le chien dit Dieu
- Bonjour dit le chien en baissant la tête par respect pour Dieu,que puis-je pour toi ?
- Toi ?rien,je suis venu te dire que tu bénéficies de trente années de vie !
- Trente ans ? non, non Dieu trente ans mais c’est beaucoup, beaucoup trop ?
- Pourquoi donc ?
- Trente ans mais voilà qui est bien trop long, à la fin de ma vie je n’aurai plus de dents pour mordre, plus de voix pour aboyer, je ne servirai plus grand chose et vivre dans un coin tout seul à grogner, non trente ans c’est bien trop long.
Dieu fit de savants calculs sur sa calculette :
- Si je t’enlève 12 ans ça ira demanda Dieu
- Parfait dit le chien
- Au revoir le chien
- Au revoir Dieu
Dieu reprit le chemin et il rencontra le singe :
- Bonjour le singe dit Dieu
- Bonjour dit le singe en baissant la tête par respect pour Dieu,que puis-je pour toi ?
- Toi ? rien,je suis venu te dire que tu bénéficies de trente années de vie ! Trente ans qu’on refusaient l’âne et le chien parce qu’il travaillaient et un travail qui leur paraissait dur, difficile. Toi tu t’amuse tout le jour tu fais des grimaces, des tours,rirent les gens. Trente ans de vie ce n’est rien pour toi !
- Trente ans ? non, non Dieu trente ans mais c’est beaucoup, beaucoup trop ?
- Pourquoi donc ?
- Trente ans ? Tente ans à attendre que l’on me donne à manger, trente ans à faire des grimaces et des tours pour amuser le public et que certaines gens mal intentionnées me jettent un fruit tout pourri non, non trente ans à cacher ma tristesse par des tours pendables c’est trop long.
Dieu fit de savants calculs sur sa calculette
- Si je t’enlève dix ans ça ira demanda Dieu
- Parfait dit le singe
Dieu continua son chemin à la recherche de l’homme. Il le chercha pendant longtemps et Dieu le trouva sous l’arbre de la connaissance lorgnant avec envie les fruits défendus se demandant comment y goûter sans se faire prendre ….
- Salut à toi ô Dieu mon créateur dit l’homme en administrant une tape amicale sur l’épaule de Dieu
- Bonjour l’homme répondit Dieu. Quelle force soupira Dieu tout en se frottant l’épaule.
- Hé Dieu répondit l’homme c’est bien toi qui m’a créé ! Mais que viens tu faire par là ?
- Là ? dans mon jardin ? répondit Dieu . Je suis venu te dire que je te donnais trente ans de vie
- Quoi que trente années de vie, mais allons Dieu c’est vraiment trop peu ! Juste le temps de grandir, de partir de chez mes parents à peine le temps de me marier et d’avoir des enfants, et voilà qu’il faut mourir non, non trente ans c’est bien trop court !
Dieu regarda sa calculette fit de savants calcul et dit :
- Je te donne les dix huit ans qu’a refusait l’âne !
- Dix huit ans, dix huit ans c’est pas assez. Tu n’aurais pas encore quelque chose dans ta drôle de boîte demanda l’homme
- J’ai les dix années refusait par le chien ! les veux-tu ?
- Je ne les refuse pas mais tu n’as pas du rabe ? t’exagère Dieu au plus tu vas au moins tu me donnes d’années….
- Du rabe, du rabe quel langage, voyons dans ma machine, J’ai les dix ans refusés par le singe !
- Bien sûr que je prends et la suite ?
- la suite répondit Dieu la suite zéro je n’ai plus d’années à te donner !

L’homme tourna le dos à Dieu et partit un peu plus loin mécontent.
Et dire pensa Dieu et dire que je fais cadeaux de tant d’année à l’homme et qu’avec ces années supplémentaires il va saccager ma planète !!!!

C’est ainsi que l’homme vit trente ans de vie heureuse ce sont les siennes puis viennent les dix huit années de l’âne années de travail et de souffrance, viennent les dix années du chien, l’homme est fatigué n’a plus de dents et grogne dans sa barbe, viennent les dix années du singe,l’homme n’a plus sa tête il fait des bêtises et ses grimaces ne font rire que les enfants, qui se moquent de lui.

Donc l’homme vit euh 20 ? 30 ? avec les 5 années du chien oulalalalala
Mais oui bien sûr les conteurs ne savent pas conter !!!

Chadaou et les trois soleils



Il y a bien longtemps de cela, qu’au pays des Oroks trois soleil brillait dans le ciel De jour comme de nuit ils brûlaient de leurs rayons tout ce qui poussaient, les arbres et l’herbe, ils desséchaient toutes les sources, les rivières et fontaines, asséchaient même les fleuves et la mer, si bien que les poissons crevaient, les bêtes sauvages et les oiseaux se cachaient dans les rochers, et les gens s’abritaient dans les cavernes profondes et dans les trous d’ombre

Plus personne n’osait sortir. Le corbeau curieux, sortit pour un bref instant de sa cachette, et il devint aussitôt tout noir, ses plumes s’étant carbonisées.c’est depuis lors qu’il est de cette couleur. La pie plus maligne, se couvrit de sable, avant de sortir un peu pour voir ce qui se passait dehors. Mais en sautillant, elle secoua le sable, elle secoua le sable et la ou les plumes n’étaient plus protégées, elles noircirent aussi. C’est depuis lors que la pie est noire et blanc.le renard plus rusé découvrit une grande mare ou il restait un peu d’eau ; Il s’y glissa, mais laissa sortir ses oreilles, le bout de sa queue et son museau. C’est depuis lors qu’il est roux avec les oreilles le bout de la queue et le nez noir.

C’est alors que le sage et talentueux Chadaou a fait son apparition parmi les Oroks.

Personne ne savait d’où il venait, personne ne savait qui il était

Les Oroks lui ont dit :

« Puisque tu es si adroit, abats de tes flèches deux des soleils qui sont dans notre ciel

Un seul nous suffit amplement «

« Bien dit Chadaou » Mais quels soleils dois –je abattre de mes flèches ? »

Les uns dirent ce soleil-ci les autres celui –là. Ils n’arrivaient pas a s’entendre. Chadaou a tendu son arc, il a bien visé, et a abattu d’une flèche le soleil qui se levait au soir et se couchait à minuit, puis d’une autre flèche il a abattu le soleil qui se levait à minuit et se couchait au matin.

Il y a en a qui ont dit parmi les Oroks : »Il a bien fait le sage Chadaou, cela suffit bien que le soleil brille pendant le jour. Et qu’il fasse noir la nuit
Mais les mécontents étaient plus nombreux :

Ce n’est pas bien qu’il fasse noir pendant la nuit. Quand il fait noir, les voleurs en profite pour aller voler Qui sait quel homme est ce Chadaou, qui sait pourquoi il a abattu deux soleils pour faire noir pendant la nuit. Sans doute veut il voler, lui aussi, lui aussi «

Chadaou était un sage, et tous les discours, il n’avait que sourire

On ne peut contenter tout le monde « se disait –il mais la principale, c’est que maintenant tout le monde puisse vivre agréablement bien «
Et satisfait, il contemplait les arbres qui reverdissaient de feuilles et d’aiguilles, l’herbe qui reprenait couleur, l’eau qui recommençait a couler dans les ruisseaux et les rivières, et la mer qui se remettait à rouler ses vagues. Il voyait des poissons frétiller dans toutes les eaux, les oiseaux sautiller sur les rochers, les bêtes à poils courir dans les bois et les prés Et il était heureux de voir les gens contents de se réchauffer au soleil.

Alors le sage et talentueux Chadaou a quitté le pays des Oroks .Personne n’a su où il était parti, personne n’a jamais su qu’elle idée il avait encore derrière la tête en s’en allant.
(Qui sait nous allons peut être le rencontrer dans nos villes non avec son arc et ses fléches avec un écriteau aimons notre mére nature …)

si vous vous en alliez en direction de l'extréme Nord en même temps que jusqu'à l'extreme Est vous arriveriez en pays qui s'appelle la sibérie bonne lecture tam:*cedre:

je rentre ..; et je lis plein de belles histoires...

Il me reste à les comprendre au calme de mon esprit!

Merci Babalou, Gy et Tam..... :*7:

Bonsoir !! et BRAVO pour Vos contes !! je suis admirative !!!

J'ai concocté cette petite histoire qui a légèrement trait à l'exercice proposé !

Chacun sait que l'huile est plus légère que l'eau, tout comme moi les autochtones , dignes représentants de l'huile d'oeillette vivent depuis des générations dans cette cuvette . Cette huile extraite du pavot hallucinogène, est visqueuse tout comme nôtre accent trainant les deux s'étalant . Les quelques bribes de patois perçus çà et là, montent à la tête, titillent nôtre mémoire, énivrent tel le petit muscat de Font-Falcou cultivé là bas sur la terre d'où l' on aperçoit la mer, brouillant les repères établis par la société .
Mais la cuvette s'emplit pei à peu d'eau enfin d'habitants de l'eautissements, l'eau montera et l'huile d'oeillette versera, dans cette cuvette aucune trace de viscosité ne persistera ......

je me suis régalée avec vos contes ...
...et rigolée avec les âges ....
La danse de la montagne , nous la pratiquons si peu , hélas ..;lol!
TAMARA

le conte de Chadaou , est ce un conte Sibérien?
Il me faut le classer , pour mieux le retrouver et au départ je les classe par source" pays"

j'ai bien écrit un p'tit truc sur l'orage et la pluie les coups de tonnerres etc c'est sur mon site vas y voir et s'il te plait ben tu prends .....suis pas sûre que je l'ai mis en totalité .. j'vais voir ... flûte vais être en retard moi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ça s'appelle tip top tip top bisoussssssssssssssssssssssssssssssssssssssss

Bonsoir !! décidement vôtre projet m'inspire! ce ne sont pas des contes, mes des états d'âme vous les acceptez aussi ?
Bisousssssssss à ceux qui se reconnaitront !

Je cheminais dans la vigne enlevant les gourmands aux pieds des souches,

pour aider les ceps à mieux se développer et en même temps je me penchais pour

ramasser des coquilles d'huîtres fossilisées et de menus morceaux de coquilles de

pétoncles , imaginez au VI eme siecle avant J.C, ici à l'endroit d'où je vous parle

je vois la Montagne Noire, et une partie des Pyrénées, mais est ce que les pêcheurs

ou les marchands d' Anicia, de Biterris ou de Narbona avaient de leurs petites

embarcation,faisant le commerce du vin ou de l'huile d'olive ou des épices avec les

peuples latins et grecs avaient le même panorama que moi ? Vous voyez bien,

que la vigne existait ici depuis des siècles, la vie s'organisait au rythme des

saisons et du bon vouloir des éléments, jusqu'à ce qu'il y a quelques années grâce

à la mondialisation, nos vignes soient gommées, effacées du paysage ! Nos

ancêtres avec moins de moyens ont soutenu le bas- Languedoc à préserver leur

patrimoine, leur subsitance ......... Je continuais mon travail, le dos endolori et je vis

quelque chose briller au soleil de midi, je m'en saisis, c'était une pièce de Jules

César, un véritable trésor, pas tant que si elle était à l'effigie de Mon Cher Oncle Jules !!! qui l'avait astiquée ? Quelqu'un avait donc traversé

ma vigne , ce n'était certainement pas pour y travailler, la preuve, c'est moi qui

peinait, là , avaient ils appris que son sous-sol était riche , non d'humus car elle

était exsangue, elle avait des raisins mais faudrait attendre septembre pour les

récolter, et en faire un bon vin doté d'un bon degré, ce devait être un

archéologue qui se noyait de plaisir non dans les branches de ma vigne, mais dans

sa terre à la recherche de petites pieces soit de monnaies, soit de poteries

dénotant la présence d'une " villa " gallo-romaine, où la vie se déroulait sainement, pacifiquement où l'on gardait l'eau de pluie dans de grosses citernes enterrées dans le sol, où le vin et le grain étaient conservés dans de grosses jarres en terre cuite, où l'on fabriquait aussi des escarboucles, des fibules, des armes pour chasser ou se défendre etc ........
Et de ma vigne, il ne reste rien sinon sa terre .............

............... puis je mettre une photo de ce que tu peux voir là haut sur le rocher, sur ce promontoire? en te lisant j'ai presque entendu Firmin, en mieux ... mais non c'est la nièce d'oncle Jules ................
tu sais que j'ai une idée pour peut être est ce présomptueux de ma part mais je me verrais bien conter les légendes de l'hérault le pont du diable, les arbouses, le barralet d'Andrei et d'autres encore aprés la révolution Firmin pourquoi ne pas emmener les genssssssssses dans leur pays en légende????????????????

le lien entre les légends ce serait ton Oncle Jules avec tes mots qui glissent qui chantent qui roulent tu ne crois pas que ce serait une bonne idée ??????????????

... Et un Diaporama avec les textes de Fada et les photos du pays ...plus des photos-montage pour les images fantastiques des contes ??????

voilà une belle idée...................

super cette idée Vaga!!!!!Ernestine je lis avec un si grand plaisir ce que tu écris!!!!! Vaga OUI c'est un conte sibérien éhéhéh toujours l'est et le grand nord 'tiens cela me dit quecchose '